Histoire

La bataille de Clontarf en figurines

Les commentaires sont en anglais mais pas dure à comprendre vu la vitesse avec laquelle le commentateur narre la bataille, on se croirait sur une emission de Chasse, pêche et tradition à 3h du mat

il a meme reussi a m'endormir   

HEY !!! mais ça vas pas !!! Clontarf c'est la bataille qu'on refais avec Arnaud et Philippe le belge !!!
bande de voleur !!!

http://dh.tcd.ie/clontarf/node/107
Encore un article sur la Bataille de Clontarf.
Il n'y aurait pas une date anniversaire par hasard.  

Il y a un petit curseur sous la carte pour voir l'évolution de la bataille.

ok

DOUBLE ANNIVERSAIRE POUR L'ANZAC




25 avril 1915

- Débarquement à Gallipoli, aux Dardanelles. Un premier contingent de 75.000 soldats britanniques et français (ces derniers dans un premier temps sur la rive sud des Détroits pour une manoeuvre de diversion) débarquent à Gallipoli. L'effet de surprise escompté par les autorités anglaises ne joue pas, puisque les Turcs, encadrés par les officiers de la mission militaire allemande, sont aux aguets et contre-attaquent immédiatement. Malgré l'acheminement de renforts successifs, les Alliés ne parviendront pas à percer en direction de Constantinople et subiront des pertes énormes sans aucune contrepartie.

25 avril 1918

- Contre-attaque victorieuse des Australiens à Villers-Bretonneux, combat emblématique du pays pour la Première Guerre mondiale. Composé exclusivement de volontaires, le corps australien et néo-zélandais a alors sans doute contribué dans une large mesure à sauver les Alliés, pendant que les autorités finissent de s'entendre sur les modalités d'exercice du commandement unique par le général Foch (processus entamé depuis la conférence de Doullens le 26 mars). Chaque 25 avril, à partir de 05h30, l'ANZAC Day permet à la nation australienne de se souvenir de ses morts, tous tombés en dehors du territoire national. Son principal monument commémoratif n'est ni à Canberra, ni à Sydney, mais à Villers-Bretonneux

concernant Gallipoli
j'ai eu la chance d'y aller 2 fois avec les poilus pour visiter le champs de bataille

ici c'est nous au cimetière Français



et pour continuer les photos anniversaire historique
Nous étions ce WE aux Eparges pour les combats de paques



ici nous sommes au cimetière du trottoir à coté de la tombe du sous lieutenant Porchon
ami de Maurice Genevois qui à écrit "ceux de 14" (un des meilleur livre de la 1ère GM.

4 août 1701 : Les Français et les Amérindiens concluent une alliance décisive

Après plus un siècle de guerres, Montréal fut en 1701 le haut lieu de la conclusion d’un traité de paix regroupant 1300 ambassadeurs représentant 40 nations amérindiennes habitant un immense territoire depuis l’Acadie jusqu’aux Prairies et depuis le bassin de la Baie James jusqu’au Missouri. Les signataires étaient d’un côté, les Français et l’ensemble des nations du grand réseau d’alliance huron-outaouais et de l’autre, la Ligue iroquoise des Cinq Nations. La cérémonie protocolaire du 4 août 1701 fut empreinte de solennité tout en empruntant largement aux traditions diplomatiques amérindiennes : la hache de guerre fut jetée au plus profond de la terre et l’Arbre de Paix érigé sur une grande montagne, ses racines s’étendant sur ce vaste continent.

RIP



L'historien français Maurice Agulhon, professeur au Collège de France, est mort, mercredi 28 mai, à l'âge de 88 ans. Spécialiste de l'histoire contemporaine, il était l'un des plus grands connaisseurs des institutions de la République.

Elève de l'Ecole normale supérieure, il a d'abord enseigné en lycée avant de rejoindre la faculté, à Aix-en-Provence puis à l'université Panthéon-Sorbonne. Il a été professeur au Collège de France de 1986 à 1997, où il a tenu la chaire d'histoire contemporaine.

Les travaux de Maurice Agulhon ont porté sur le concept de sociabilité (La République au Village, 1970), la symbolique républicaine, ses effigies, ses rites (Marianne au combat, 1979, Marianne au pouvoir, 1989, Les métamorphoses de Marianne, 2001) ou encore la pratique du pouvoir par le général De Gaulle (Coup d'Etat et République, 1997)

Bruce Dickinson à Sonisphere

Bruce Dickinson, chanteur du groupe Iron Maiden, sera présent avec ses vieux potes (c'est lui le plus jeune à 56 ans   ) au festival Metal Sonisphere, à Knebworth le 5 Juillet 2014. C'est sympa (si on aime ce genre musical), mais qu'est ce que ça a à voir avec l'Histoire? J'y viens.

Ceux qui s'intéressent au groupe savent sûrement qu'il est passionné d'aviation et qu'après avoir quitté le groupe en 1993, il est devenu pilote de ligne sur Boeing 757 et instructeur sur Boeing 737.

Ce qui se sait beaucoup moins c'est qu'il a intégré un groupe d'acharnés de reconstitution de la première guerre mondiale en 2013 (The Great War Display Team) et que depuis , non content de totaliser plus de 7000 heures de vols sur divers appareils, il participe régulièrement à des reconstitutions de combats aériens aux commandes d'un Triplan Fokker Dr1.


Le sien est une réplique exacte de celui du Leutnant Johann Janzen (13 victoires).


Tout "naturellement", avec 9 de ses potes pilotes, il va donc donc "jouer à Wings Of War Grandeur Nature" pendant un quart d'heure au dessus du festival pour rendre hommage aux combattants de la Grande Guerre à l'occasion des commémorations du centenaire, le tout avant de monter sur scène avec Iron Maiden pour un concert de plus de 2 heures, concluant ainsi une tournée européenne d'un mois et demi. Il a encore la pêche pour son age...   

excellent ( pas mon style de "musique" mais respect!)

C'est anglais mais j'adore cette carte, c'est un très beau boulot

http://www.worldology.com/Europe/europe_history_lg.htm

Effectivement c'est un bel outil pédagogique de surcroît!

ouais mais c'est en anglais

bientôt la rentrée Philippe, faut réviser ton anglais !

je ne revise pas l'anglais je le vise

C'est pas toi qui fait du BEF à Bolt Action pourtant ?

ben si mais c'est les ecossais!

El magnifico a écrit:je ne revise pas l'anglais je le vise

EXCELLENT jeu de mot !!! je met un francs dans le nourrin mon chere guy lusque !!

Bon je viens de terminer cette synthèse de l'historien britannique Antony Beevor et je dois avouer que, très réticent au départ après avoir parcouru le chapitre dédié à la bataille de France, je l'ai lu avec beaucoup de plaisir et d'intérêt.



En effet, n'étant pas du tout un afficionado ni un spécialiste de la période à la base, j'ai trouvé le récit bien écrit et illustré de nombreuses anecdotes parfois étonnantes. L'auteur ratisse large et explique de nombreuses situations peu abordées dans les ouvrages classiques français (la guerre sino-japonaise, la guerre civile grecque ou encore la situation intérieure de la Hongrie, etc...) si bien que j'ai appris plein de trucs.
Il est vrai que l'armée française en prend un peu pour son grade mais c'est le cas de tout le monde puisque Beevor ne transige pas non plus avec les erreurs britanniques et américaines.
Bref je le conseille à tous ceux qui ont, comme moi, une connaissance plus qu'imparfaite du conflit, 1300 pages en version poche mais passionnant.

bon et bien maintenant intero ecrite!

Même pas peur!
Quoique il va me falloir plus qu'une grosse synthèse sur le sujet pour devenir incollable quand même. Je préfère me limiter aux interros sur la période médiévale, j'aurai plus de chances!

Après l'excellent Charlemagne de Georges Minois j'attaque celui-ci


La Grande Guerre oubliée Broché de Alexandre SUMPF



La Marne, Verdun, le Chemin des Dames... on connaît tout ou presque de la Grande Guerre qui s'est déroulée en France. Mais sait-on qu'au même moment, 15 millions de soldats du tsar affrontaient seuls trois empires ? Sait-on ce qu'ils ont expérimenté, pensé et subi, comment s'est organisé l'effort de guerre, à quel point la population a souffert des disparitions, des déportations et des occupations ? Il faut aussi imaginer une société civile s'imposer au pouvoir qui la méprise par son engagement patriotique, économique et philanthropique ; un empire où les peuples aspirent à se libérer de la domination russe ; une capitale où les partis politiques trament la fin de l'autocratie. Cette guerre " catalyse l'histoire ", nous dit Lénine, et débouche sur deux révolutions – Février et Octobre 1917 – qui donnent naissance à la citoyenneté, créent un nouvel équilibre agraire et scellent le refus de combattre sur le front. La Grande Guerre prend fin ici aussi en (mars) 1918, mais ce n'est que le début d'une myriade de luttes politiques et sociales, réunies sous le nom de guerre civile. Si nous avons oublié ce conflit ou n'en avons jamais rien su ou presque en France, c'est parce que sa mémoire pourtant vivace au départ a été désactivée, sous le régime communiste jusqu'à aujourd'hui. Or, il s'agit du front le plus meurtrier de la Première Guerre mondiale.

Il fait partie de la commande que je passerai sous peu pour la médiathèque avec tout plein d'autres sur 14-18.

un front potentiellement interessant en matiere de jeu aussi